Imaginez-vous savourer un parfum exotique de liberté sous un ciel serein, les orteils enfoncés dans le sable doré échaudé par le soleil. Mais voilà, une simple bouteille d’eau consommée durant vos congés s’avère être une véritable calamité. Laissez-nous vous partager les détails de cet épisode tragique.
C’est l’histoire d’un voyage de rêve qui se mue en un cauchemar réel : l’eau en bouteille, synonyme de sauvegarde dans l’écrasante chaleur estivale, se transforme subitement en poison fatal.
L’été s’est conforté dans le dossier de notre nation depuis déjà quelque temps. Inutile de préciser que l’hydrate de la bouteille d’eau a pris le devant de la scène lors de ces épisodes caniculaires. Néanmoins, sélectionner la source de ce précieux liquide s’avère impératif.
Un voyage idyllique transformé en tragédie par une fâcheuse bouteille d’eau
Au sein de cette odyssée, une personne espérait jouir d’un séjour enrichissant, mais le sort en a voulu autrement. Cet individu avait opté pour une escapade jusqu’à l’île chypriote, une décision qui, malheureusement, s’est avérée être sa profession de foi. Une innocente gorgée d’eau en bouteille a amorcé le prélude d’une sombre fin pour ce pauvre homme.
La personne en question est Colin Greenway. Ayant franchi le cap des 63 hivers, il envisageait une seule chose : apprécier la splendeur de Peyia, ville chypriote, avec ses proches. Il avait planifié cette aventure avec minutie.
Sue, son épouse, était à ses côtés en compagnie de leurs deux enfants, Ellen et Matthew, ainsi que la mère de Sue, Ann. Ils ont goûté aux savoureux mets locaux, ont été charmés par la beauté naturelle des lieux et ont joui de la quiétude des plages.
Après s’être régalé d’un succulent repas, Colin s’est désaltéré avec de l’eau en bouteille. Ce qu’il ignorait, c’est que cette eau, loin d’être un remède contre la soif, serait la sentence de son existence. En effet, un intrus indésirable s’était introduit au sein de la bouteille.
Le coupable de cette atroce tragédie est le campylobacter, un parasite capable de provoquer une infection sévère. Ayant enduré de terribles souffrances durant de nombreux jours, Colin a attendu son retour au pays pour franchir le seuil des urgences. Il n’a pas fallu longtemps aux professionnels de santé pour identidier le coupable de ces maux épouvantables.
« J’ai découvert mon père, sans vie, allongé dans son lit »
Malheureusement, Colin n’a pas reçu le traitement approprié à temps pour éradiquer le parasite qui s’était logé dans son eau en bouteille. L’état de santé de Colin s’est progressivement détérioré, une embolie pulmonaire l’a emporté et a fini par prendre sa vie.
Le décès de Colin, causé par sa bouteille d’eau, constitue un choc pour ses proches. Sa mère a confié : « C’était un véritable chaos. L’aspect le plus inquiétant de cette situation est que si je n’avais pas été professionnel de la santé, rien de tout cela n’aurait été dévoilé. ».
Sue, en pleine détresse, raconte : « Mes enfants m’ont appelée. Ils m’ont annoncé : ‘J’ai une terrible nouvelle. J’ai trouvé papa mort au lit.’ J’ai hurlé. Mon monde s’est effondré quand il est parti. » Sue a perdu simultanément son époux, à cause d’une bouteille d’eau, et son père, quelques jours plus tard.
Sue confie encore : « Je n’ai jamais pu lui dire au revoir. C’est dévastateur. Il était un homme si agréable, passionné de football. » Par ailleurs, la direction de l’hôpital a fait une déclaration.
Elle explique : « Il est de la responsabilité du médecin consultant de surveiller les actions de ses subordonnés non supervisés pendant les week-ends lorsqu’un patient est admis. Cependant, le consultant n’a jamais discuté avec ce médecin junior de l’erreur de prescription ni des mesures éventuellement entreprises en conséquence. ».
